Dakar, 3 nov. 2025 (VIBRACTU) – Le Sénégal joue gros à 1 an des Jeux Olympiques de la Jeunesse. En visitant ce dimanche les chantiers de Dakar, Diamniadio et Saly, le Président Bassirou Diomaye Faye a rappelé que la livraison à temps des infrastructures est une priorité nationale. Ces Jeux, prévus du 31 octobre au 13 novembre 2026, seront les premiers de l’histoire à se tenir en Afrique.

« Nous devons livrer à temps, avec rigueur et qualité. C’est une question d’honneur pour notre pays », a déclaré le Chef de l’État, saluant les équipes mobilisées sur le terrain.

Selon plusieurs sources techniques, la majorité des chantiers devraient être livrés d’ici mars 2026, soit 7 mois avant le coup d’envoi. Ce délai est serré, mais il reste dans la norme internationale. Pour y arriver, l’État mise sur une coordination étroite entre les ministères, les entreprises locales et les partenaires du Comité international olympique.

Livrer Dakar 2026 à temps, c’est montrer au monde que le Sénégal peut tenir ses engagements et organiser un événement mondial selon les standards olympiques. Chaque délai respecté renforce la crédibilité du pays et donne confiance aux partenaires. À l’inverse, un retard ou une finition précipitée fragiliserait l’image du pays et l’héritage promis à la jeunesse africaine.

L’expérience des Jeux de Tokyo 2020 et de Paris 2024 offre des repères clairs.
Au Japon, plus de la moitié des sites étaient prêts 1 an avant l’ouverture, et le grand stade national avait été livré 8 mois avant les Jeux.
En France, les infrastructures principales, dont le village des athlètes, ont été livrées 5 mois avant l’ouverture officielle.
Dakar se situe entre ces deux modèles, avec mars 2026 comme date clé, offrant 7 mois pour tester, ajuster et finaliser les installations.

Dakar 2026 sera donc un test de discipline, d’unité et d’efficacité. Plus qu’un défi technique, c’est une mission collective : prouver que l’Afrique peut livrer à temps, avec fierté et excellence.

Livrer à temps, c’est tenir parole. Et tenir parole, c’est faire rayonner le Sénégal.

Dakar, 3 nov. 2025 (VIBRACTU) – Le Sénégal joue gros à 1 an des Jeux Olympiques de la Jeunesse. En visitant ce dimanche les chantiers de Dakar, Diamniadio et Saly, le Président Bassirou Diomaye Faye a rappelé que la livraison à temps des infrastructures est une priorité nationale. Ces Jeux, prévus du 31 octobre au 13 novembre 2026, seront les premiers de l’histoire à se tenir en Afrique.

« Nous devons livrer à temps, avec rigueur et qualité. C’est une question d’honneur pour notre pays », a déclaré le Chef de l’État, saluant les équipes mobilisées sur le terrain.

Selon plusieurs sources techniques, la majorité des chantiers devraient être livrés d’ici mars 2026, soit 7 mois avant le coup d’envoi. Ce délai est serré, mais il reste dans la norme internationale. Pour y arriver, l’État mise sur une coordination étroite entre les ministères, les entreprises locales et les partenaires du Comité international olympique.

Livrer Dakar 2026 à temps, c’est montrer au monde que le Sénégal peut tenir ses engagements et organiser un événement mondial selon les standards olympiques. Chaque délai respecté renforce la crédibilité du pays et donne confiance aux partenaires. À l’inverse, un retard ou une finition précipitée fragiliserait l’image du pays et l’héritage promis à la jeunesse africaine.

L’expérience des Jeux de Tokyo 2020 et de Paris 2024 offre des repères clairs.
Au Japon, plus de la moitié des sites étaient prêts 1 an avant l’ouverture, et le grand stade national avait été livré 8 mois avant les Jeux.
En France, les infrastructures principales, dont le village des athlètes, ont été livrées 5 mois avant l’ouverture officielle.
Dakar se situe entre ces deux modèles, avec mars 2026 comme date clé, offrant 7 mois pour tester, ajuster et finaliser les installations.

Dakar 2026 sera donc un test de discipline, d’unité et d’efficacité. Plus qu’un défi technique, c’est une mission collective : prouver que l’Afrique peut livrer à temps, avec fierté et excellence.

Livrer à temps, c’est tenir parole. Et tenir parole, c’est faire rayonner le Sénégal.