« VIBRE AVEC COACH MARIÈME SAKHO » : Votre valeur ne dépend pas de l’extérieur

28

On vous a peut-être appris à vous définir par ce que vous faites
ou par ce que vous possédez.

Votre métier, votre titre, votre statut, votre maison, votre voiture, vos diplômes, votre apparence…
Tout cela a pu devenir, au fil du temps, une manière de vous rassurer,
de prouver que vous existez, que vous comptez, que vous « valez quelque chose ».

Mais au fond, tout cela ne dit rien de vous.
Ce ne sont que des rôles, des objets, des formes temporaires.

Votre valeur, elle, ne s’achète pas, ne se prouve pas, ne se compare pas.
Elle se ressent.
Elle se vit.

Elle se trouve dans votre regard, dans votre manière d’aimer,
dans ce que vous apportez autour de vous sans même vous en rendre compte.
Elle est dans votre sensibilité, votre bienveillance, votre écoute,
dans votre façon d’accueillir la vie,
même quand elle ne ressemble pas à ce que vous aviez prévu.

Vous n’êtes pas ce que vous faites.
Vous n’êtes pas ce que vous possédez.
Vous êtes bien plus grand(e) que tout cela.

Ce que vous êtes véritablement ne peut être touché ni mesuré.
C’est un espace intérieur, paisible, silencieux.
C’est ce souffle qui vous habite,
cette lumière qui ne s’éteint jamais,
même quand tout semble s’effondrer.

Votre valeur se manifeste chaque fois que vous choisissez la douceur au lieu de la dureté,
l’amour au lieu de la peur,
l’authenticité au lieu du masque.
Elle s’exprime dans votre façon de vous tenir,
dans votre regard,
dans votre capacité à pardonner,
et dans la manière dont vous vous comportez.

Vous n’avez pas besoin d’en faire plus pour être légitime.
Vous n’avez pas besoin d’avoir plus pour être digne.
Vous êtes déjà complet(e), même dans vos manques.
Vous êtes déjà précieux(se), même dans vos doutes.

Alors respirez.
Revenez à votre cœur.
Souvenez-vous de qui vous êtes,
avant tout ce que vous faites,
avant tout ce que vous possédez.

C’est là que réside votre véritable richesse.

Et dans ce silence, dans cette paix retrouvée,
Dieu vous rappelle doucement :
vous êtes, et cela suffit.

Pas de commentaire

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *